L’emprunt linguistique est un phénomène commun à toutes les langues. Il est souvent le résultat des échanges entre des langues, et surtout, des peuples qui sont en contact et donc qui échangent des coutumes et réalités ainsi que les mots qui servent à les dénommer. Ainsi, l’emprunt est une ressource efficace pour combler les lacunes lexicales, c’est-à-dire, lorsqu’on manque de mots pour dénommer une réalité qui nous est nouvelle. Au Québec, la langue à laquelle on emprunte le plus régulièrement est, bien entendu, l’anglais. Les emprunts à l’anglais sont ce que nous connaissons aussi sous le nom d’anglicisme. Ah… les anglicismes, il y en a partout!
Un texte de Ada Luna Salita – Dossier Éducation Ce contenu est réservé aux membres
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